Lutte contre le tabagisme, propagande et anti vape extrémistes

Lutte contre le tabagisme, propagande et anti vape extrémistes

Certains militants anti-vape ont mené une campagne de propagande pour dissuader les gens de vapoter, en utilisant des arguments souvent basés sur des études douteuses et des informations trompeuses. Ces militants peuvent soutenir que la vape est tout aussi dangereuse que le tabac, même si les preuves scientifiques suggèrent que ce n’est pas le cas. Dans ce contexte, il est important de comprendre les enjeux de la propagande anti-vape et les conséquences de cette désinformation sur la santé publique.

Des motifs fallacieux utilisés par les extrémistes

Au cours des dernières années, les activistes extrémistes ont porté leur attention sur la lutte contre la vape plutôt que contre le tabagisme. Il est intéressant de noter que ces militants s’acharnent sur la vape, alors que les problèmes de santé liés au tabac sont bien plus préoccupants. Cette tendance soulève la question de savoir si leur combat est réellement contre le tabac ou s’il s’agit plutôt d’une lutte contre la vape.

La couche juvénile prise comme exemple

Les militants anti-vape essayent de manipuler l’opinion publique en utilisant la couche juvénile comme prétexte pour justifier leurs mesures d’interdiction et de prohibition. Pourtant, certaines études montrent que le tabagisme chez les jeunes continue de diminuer et que l’expérimentation de la vape semble être une alternative plus sûre que l’expérimentation du tabac.

En effet, selon l’article du Dr JUNEAU, le taux de tabagisme quotidien chez les jeunes au Canada est tombé à 2,3 %, avec une baisse accélérée de 40 % de 2018 à 2019, en même temps que le développement du vapotage. Ces chiffres démontrent que la vape est une alternative efficace pour décourager les jeunes de fumer.

Les militants anti-vape continuent quand même de brandir la menace des jeunes pour justifier leurs actions contre la vape. Ces mesures ne sont pas fondées sur des preuves scientifiques solides, mais sur des mensonges. Plus loin, les mesures de prohibition risquent d’inciter la couche juvénile à se tourner vers des produits non réglementés et potentiellement dangereux. Il faut donc faire la distinction entre les fausses affirmations des militants anti-vape et les données scientifiques réelles, afin de prendre des décisions éclairées en matière de santé publique.

Les enfants impliqués dans la propagande des extrémistes

La propagande anti-vape n’hésite pas à user de désinformation et de données erronées pour soutenir leur cause. Par exemple, au cours de l’une de ses campagnes de lutte contre le tabagisme, l’OMS aurait créé de toutes pièces une image d’enfants de 8 ans qui vapotent pour effrayer le public et les autorités de santé.

Les anti-vapes prétendent que le vapotage est une porte d’entrée pour le tabagisme chez les jeunes, mais cette théorie est fausse. Il n’existe à ce jour aucune donnée pour la soutenir. Au contraire, le tabagisme chez les jeunes diminue depuis l’arrivée de la vape. Cependant, l’OMS continue de promouvoir cette théorie de la passerelle.

L’industrie du tabac qui en profite

Il est possible de se demander si les anti-tabac qui s’opposent farouchement au vapotage ne sont pas directement payés par l’industrie du tabac. Bien que cela soit faux, il est clair que l’argent qui finance leur opposition provient souvent de Big Tobacco. C’est le cas en France avec le fond addiction et aux États-Unis avec les Tobacco Bonds.

Il faut noter que l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et les groupes anti-tabac ont adopté une attitude irrationnelle et nuisible envers la vape. Ils essaient de diaboliser le vapotage en le présentant comme une stratégie trompeuse de l’industrie du tabac pour faire fumer les enfants. Ils nient également les millions de fumeurs qui ont pu arrêter grâce à la vape, ainsi que les milliers d’entrepreneurs indépendants qui ont construit un marché légitime.

L’industrie du tabac n’a pas réussi à prendre le contrôle du marché de la vape, même si elle a essayé. En France, par exemple, les indépendants détiennent la majorité du marché, et l’industrie du tabac ne possède qu’une petite part de celui-ci. Les demandes des groupes anti-vape d’interdire les arômes et d’imposer des systèmes fermés sont exactement ce que cette industrie veut pour créer un nouvel écosystème monopolistique et éliminer toute concurrence.

Le CNCT (Comité national contre le tabagisme) en France commence à évoquer l’interdiction des arômes dans les produits de vape après la prohibition du menthol dans les e-cigarettes. Cette décision pourrait inciter certains fumeurs à continuer de fumer plutôt que de passer à la vape, ce qui va à l’encontre de l’objectif de réduire la consommation de tabac.

No Comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *